• Austellung Wien 2013.(Exposition Vienne 2013) Aa Collections Galerie

    LAURENT GODARD, ANGELO PIERLO, FLEUR MARTINAT, JEAN-MARC MUSIAL.

     

    Flyer des PHILOSOPHISTES 2013

    vernissages des Philosophistes

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  •  OPUS PHILOSOPHIA - "The Classical Pierlo's project" 

    Opus Philosophia-Angelo Pierlo

     

     

     

     

     

     

     


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    Ce titre  sera le nom de la série commencée depuis le 31 Décembre 2012 par le peintre Angelo Pierlo.

    Ce projet monumental composé de 300 pièces de 2 mètres de haut sur 1  metre de large chacune, est le premier grand projet Philosophiste du genre.

    Opus Philosophia, tente de renouer avec les notions de l'art ancestral Égyptien, Incas, Indou,Maori, ou Italien.Autrement dit, "l'art sacré".

    "Cette ensemble gigantesque de toiles composera une fresque immense,dont on ne connait pas encore la destination finale.

    Son sujet:

    l'histoire de notre planète du big-bang a nos jours, naissance de  L'humanité et son histoire.

    "Opus Philosophia", (et pour la première fois depuis 1993) regroupera les thèmes de: La  nature humaine,la science, et les philosophies , cher au créateur du mouvement Philosophiste.

    Ce travail colossal compte déjà plus de trente pièces.

    Les Financement sont recherchés qu'il soit occasionnels ou réguliers.

    En effet, chacun peut participer a ce vaste projet,qui a pour date de fin, le 31 décembre  2016.

    Si vous souhaitez plus d'informations, ou nous poser vos questions,

    angelopierlo.prod@gmail.com

    La Pierlo.Production.

    IN ENGLISH:

     This title will be the name of the series started since December 31, 2012 by the painter Angelo Pierlo.

    This monumental project is composed of 300 parts of 2 meters high and 1 meter wide each and is the first major Philosophiste project of its kind.

     Opus Philosophia tries to reconnect with the notions of the ancient art Egyptian, Inca, Hindu, Maori, or Italian. Otherwise said, "Sacred art".

    This gigantic set is composed of a vast fresco of paintings, which we do not yet know the final destination.

    His topic:

    The history of our planet from the big bang to the present day, the birth of humanity and its history.

    "Opus Philosophia" (and for the first time since 1993) will include the following themes: Human nature, science, and philosophy, dear to the creator of Philosophiste movement.

    This colossal work already has more than thirty pieces.

    The funding is sought whether occasional or regular.

    Indeed, everyone can participate in this great project, which is dated December 31, 2016.

    If you would like more information or send us your questions,

    angelopierlo.prod @ gmail.com

     The Pierlo Production

    ESPAGNOL:

     OPUS PHILOSOPHIA

     Así se llamará la serie que el pintor Angelo Pierlo comenzó el 31 de diciembre 2012.

     Este monumental proyecto compuesto de 300 piezas de 2 metros de alto por 1 metro de ancho cada una est el primer gran proyecto filosofista de su género.

    Opus Phisolophia tiene como objetivo enlazar las nociones del arte ancestral egipcio, inca, hindú, maorí e italiano. Dicho de otra dorma, el "Arte Sagrado".

     Este gigantesco conjunto de lienzos dará forma a un inmenso fresco del que aún no conocemos su destino final.

     Su tema:

    La historia de nuestro planeta desde el Big-Bang hasta nuestros días, el nacimiento de la humanidad y su historia.

     "Opus Philosophia" (por primera vez desde 1993) agrupará los temas de la naturaleza humana, la ciencia y los filósofos adeptos al movimiento filosofista.

     Este trabajo colosal cuenta ya con con más de treinta piezas.

     Estamos a la búsqueda de financiamiento regular u ocasional. De hecho, todos pueden participar en este vasto projecto cuya fecha de culminación es el 31 de diciembre de 2016.

     Si desea más información o formularnos alguna pregunta: angelopierlo.prod@gmail.com


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  • "Les  Philosophistes au Pays de Mozart"

     

    Angelo Pierlo, jean-Marc Musial, Laurent Godard et Fleur Martina exposerons enssemble dans l'espace de la Aa Collections Galerie de Vienne, en plein coeur de la légendaire capitale Autrichienne.

    C'est en suite une actualité 2013 tres dense qui attends les Philosophistes.Avec la Galerie Alter Ego a Aix-en-Provence du 15 au 30 Avril.

    Une exposition privée au mois de Mai a Paris chez un particulier, deja collectioneur des peintres du mouvement.

    La rentrée laisse imaginer d'autres projets internationaux...Pour l'instant tenu secrets.

    Pour ceux qui pourront venir partager l'univers engagé et coloré de ces artistes, vous trouverez sur ce meme blog les informations quand aux expositions a venir.

    La Pierlo.Production.

     

    "QUE LE PHILOSOPHISME SOIT"

     

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  • L'histoire vue par les peintres 

     
    La bataille de Fontenoy, le 11 mai 1745 (1828),d'Horace Vernet. ­Victoire française et fait d'armes le plus éclatant de la guerrede succession d'Autriche.

    La bataille de Fontenoy, le 11 mai 1745 (1828),d'Horace Vernet. ­Victoire française et fait d'armes le plus éclatant de la guerrede succession d'Autriche. Crédits photo : www.bridgemanart.com/www.bridgemanart.com
     

    De la défaite de Vercingétorix jusqu'à la guerre de 1914, c'est tout un pan de notre histoire qui défile en couleur dans l'ouvrage de Fontanel et Wolfromm.

    En 1833, Louis-Philippe, le «roi-citoyen», décida de transformer le château de Versailles en «musée de l'histoire de France». Il s'agissait de représenter les événements majeurs qui avaient marqué le passé du pays depuis Vercingétorix. Il s'agissait aussi de les exalter. D'où la devise qui figure encore au fronton des deux pavillons de la cour de marbre: «À toutes les gloires de la France!».

    L'idée était astucieuse. Il s'agissait, depuis la Révolution, de réconcilier la nation avec son passé. Au fond, pour la première fois, un souverain caressait l'idée de donner à la nation un musée dédié à toute son histoire, avant comme après 1789. Si celle-ci avait été glorieuse, c'est parce qu'elle avait été au service d'une idée supérieure, transcendant les régimes politiques, l'idée nationale. Victor Hugo considérait que Louis-Philippe avait été un grand roi parce qu'il avait «fait un monument national d'un monument monarchique». Las! Comme souvent en France, cette idée ne survécut pas à la disparition de son promoteur et le musée de l'histoire de France céda rapidement le pas, dès la fin du XIXe siècle, au musée reconstitué de la cour des Bourbons. Seule la célèbre «galerie des batailles», édifiée en 1833, témoigne encore de l'ambition historique du roi-citoyen.

    Selon l'historien allemand ­Thomas Gaehtgens, il ne pouvait en aller autrement. Dans les fameux Lieux de mémoire, il écrit: « Ce n'était pas en faisant appel à la notion de grandeur nationale (…) que l'on pouvait régler les problèmes de la société ni neutraliser les dissensions sociales.» Certes, mais si le musée échoua dans son ambition politique immédiate, il ne contribua pas moins à forger pendant plus d'un siècle les mémoires nationales en raison du formidable legs de peinture qu'il laissa aux générations futures.

     

    Passé illustré

    Car le roi avait mobilisé tous les grands peintres de son temps. Quel peuple peut se targuer d'avoir eu autant d'événements de son passé représentés et incarnés? Versailles ne fut d'ailleurs pas le seul musée à produire ce type de peinture «historique».

     

    Quand les artistes peignaient l'histoire de France de Béatrice Fontanel et Daniel Wolfromm, Seuil.
    Quand les artistes peignaient l'histoire de France de Béatrice Fontanel et Daniel Wolfromm, Seuil.

    Profitant de cette formidable richesse picturale et de ce souci quasi névrotique du détail qu'avaient les peintres du XIXe siècle, deux écrivains, Béatrice Fontanel et Daniel Wolfromm, ont décidé de nous replonger dans ce passé illustré. De la défaite de Vercingétorix jusqu'à la guerre de 1914, c'est tout un pan de notre histoire qui défile en couleur. On se plaît à retrouver ce plaisir d'enfant, lorsqu'on feuilletait les planches illustrées des vieux dictionnaires. On est saisi par le tableau de Jean-Paul Laurens, ce maître de l'art pompier, illustrant l'excommunication de Robert le Pieux (qui figure au Musée d'Orsay), ou la mort de Marat, de Jean-Joseph Weerts; on frémit à l'assassinat du duc de Guise, de Paul Delaroche, et on s'enorgueillit à la séance du Jeu de paume, d'Auguste Couder, ou à la bataille de Fontenoy, d'Horace Vernet, qui ne saurait mieux illustrer la mythique «guerre en dentelles». Messieurs les Anglais, tirez les premiers!

    On retrouve aussi des événements plus récents, comme cette immense peinture du même Vernet, représentant sur vingt et un mètres de longueur, la prise de la smala d'Abd el-Kader, que le roi fit peindre vers 1843 pour fêter l'exploit du duc d'Aumale. Fontanel et Wolfromm n'ont pas été désireux de pousser fort loin la réflexion sur le lien entre la peinture et l'histoire. Peut-être peut-on emprunter au Siècle de 1837 cette remarque acide, où le journal dénonçait, à travers ces tableaux, un «enthousiasme de commande, des paroles vides, des prédictions fanfaronnes qui n'ont manqué ni aux fêtes de la révolution, ni aux solennités de l'Empire, ni aux anniversaires de la Restauration, et qui n'ont assuré à aucun de ces régimes une heure d'existence de plus». Certes. Pourtant, si les régimes passent, les peintures restent et elles forgent notre imaginaire. Pourquoi bouder ce petit plaisir?

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